• Après avoir dit adieu à ma bien-aimée, je suis retournée docilement dans ma cellule, la sorcière s'est avancée vers moi pour me dire que la clé pour être libéré était Aliénor, j'ai essayé d'en savoir plus, mais en vain, cette femme parle en énigme et franchement, je suis nul à ce petit jeu et je n'avais vraiment pas le cœur à déchiffer quoi que ce soit aujourd'hui.

    Après que le corps d'Aliénor fut lavé et habiller le roi la fit déplacer dans une des pièces du château.
    Je ne voulais pas qu'elle soit loin de moi, j'avais encore besoin de la voir, mais je ne pouvais point.

    J'ai fini par me retrouver entièrement seul, je me suis mis dans un coin de ma cellule pour pleurer.

    Chapitre 12

    Le temps passa lentement, je commençais à entendre mon estomac crier, mais tout ce que j'avais, c'est un peu d'eau.

    La journée était surement déjà bien entamée, mais impossible de savoir s'il faisait encore jour, car il n'y avait aucune fenêtre ici, quand soudain, j'entendis des bruits de pas, c'était mon père, il s'avança doucement et me tendit un peu de pain.

    Le père - Mange un peu fils.

    Athalaric - Je ne veux point manger !
    Je veux mourir et rejoindre Aliénor. "Dis-je tristement"

    Le père - Quelle partie de la malédiction tu n'as point compris.
    Tu ne peux point mourir, alors à quoi bon essayer de te faire du mal Athalaric !

    Athalaric - J'ai perdu mon amour et l'enfant qu'elle portait encore ! Peux-tu comprendre cela ! "Dis-je en colère"

    Le père - Je sais que cela fait mal, j'ai également perdu ma femme lors de ta venue au monde ! J'ai souffert, mais j'ai continué à vivre !

    J'ai parlé à la sorcière, elle va faire ce qu'il faut pour que les gardes soient endormis cette nuit.

    Athalaric - J'aurai besoin de la voir cette nuit, je veux savoir de quoi, elles ont parlé.

    Le père - Elle quitte aussi le village après s'être occupé des gardes, car le roi va savoir qu'elle t'a aidé à fuir et elle doit protéger ses enfants, mais on doit la retrouver à la sortie du village près des bois, mais sache que les sorcières donnent rarement toutes les réponses.

    Je vais te laisser, je reviens cette nuit, car le roi fait une cérémonie pour la princesse.
    Et mange, il te faudra un peu de force.

    Il quitta alors la pièce, me laissant à nouveau seul avec ma peine.

    Chapitre 12

    J'ai fini par manger le pain et à m'endormir.

    Je me suis alors mis à rêver, enfin ce n'est peut-être pas un rêve, je suis chez nous en pleures, la porte s'ouvre, Aliénor apparait soudain.

    Aliénor - Ne me pleure point mon bien-aimé, nous allons nous revoir.

    Je m'avance vers elle à toute vitesse, la soulève dans mes bras.

    Athalaric - Mon amour, tu me manques déjà tellement, pardonne-moi de ne pas avoir su te protéger. "Dis-je en larmes"

    Aliénor - Il n'y a rien à pardonner Athalaric, toute notre route était déjà écrite.
    Nous allons vivre tellement de choses et voir tellement de belles choses, que chaque séparations seront un jour insignifiantes.

    Athalaric - Comment peux-tu accepter si bien cela ? "Dis-je en lui caressant le visage"

    Aliénor - Car un jour tout ira mieux.
    Il faut que je parte Athalaric, mais dans 100 ans, je serai de retour et nous finirons par nous retrouver.
    Avant que je n'oublie, retiens ce prénom : Eileen.

    Athalaric - C'est ton prochain prénom ?

    Aliénor - Non, mais s'il te plait, retient le, c'est important.

    Je t'aime Athalaric. "Dit-elle en m'embrassant une dernière fois."

    Chapitre 12

    Tout disparait autour de moi, je me réveille, je peux encore sentir son odeur, comme si elle avait été dans la pièce maintenant avec moi.

    Chapitre 12

    Le temps passe, mon père arrive discrètement, il me donne des vêtements pour moi me changer.

    Le père - Change toi vite, on doit faire vite, les gardes ne resteront pas endormis très longtemps.

    Athalaric - Je ne veux point partir avec toi ! "Dis-je d'un ton dure"

    Le père - Tu n'as pas le choix, j'ai promis à la princesse de veiller sur toi.

    Je ne répondis plus, je termine de me changer à toute vitesse.

    Le père - Dépêchons-nous !

    Je le suivis doucement sans un mot, même si les gardes étaient endormis, nous devions être discrets, car tout le monde n'était pas endormi.

    Chapitre 12

    Nous sortons enfin du château, et nous nous dirigeons vers le bois un peu plus loin.

    Après une petite marche, nous voyons une silhouette, c'est la sorcière, elle est seule, quand on s'approche plus près, je peux voir la peur sur son visage.

    La sorcière - Vous voilà enfin, je n'ai point beaucoup de temps, mon sort va bientôt prendre fin.

    Elle s'approche alors près de moi.

    La sorcière - Avez-vous eut le message de votre bien-aimée ?

    Athalaric - Le rêve ? Oui.

    La sorcière - Ce n'était pas un rêve, j'ai activé un passage temporaire entre les deux mondes, pour qu'elle puisse vous faire passer son message.

    Maintenant dirigé vous au nord et surtout pendant les 3 prochaines années, ne vous fixez nul part plus de quelques jours, cela serait trop dangereux.
    Quand elle renaitra, il faudra un certain nombre d'années avant que vos chemins se croisent, il faudra un certain temps avant qu'elle ne se souvienne de votre vie à deux.

    Athalaric - Donc elle pourrait très bien appartenir à un autre homme avant que nous chemin se croise ?
    Et que vous a-t-elle dit avant de mourir ?

    La sorcière - Cela sera une autre vie pour elle, donc tout est possible.
    Ne vous souciez point de cela, partez maintenant avant qu'ils remarquent votre absence.

    Elle s'enfonça dans la forêt et disparue.

    Chapitre 12

    Le père - J'ai des chevaux un peu plus loin, dépêchons-nous, nous allons suivre le nord comme elle a dit.

    Nous prenons alors la route par les bois, pour aller chercher les chevaux que mon père avait cachés.

                                           

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  • *Aliénor*

    La femme s'avança vers moi, un bol d'eau à la main, son visage en proie de tristesse.

    La sorcière - Essayer de redresser un peu la tête et buvez quelques gorgées.

    Aliénor - Je n'ai point envie de mourir. "Dis-je en larmes"

    La sorcière - Je le sais et je vous comprend. Comment abandonner un homme comme lui.
    Mais la vieille dame vous a expliqué votre avenir. Vous savez que si vous changez le destin et qu'il ne passe pas ses épreuves, il n'aura jamais sa véritable âme sœur. "Dit-elle tout bas"

    Aliénor - Je sais mais on s'aime, cela ne suffit-il pas ?

    La sorcière - Pour cette vie peut-être.
    Mais vous voulez vraiment lui interdire de rencontrer son véritable amour ?
    Vous aussi vous aurez le vôtre un jour et l'amour que vous éprouvez sera encore plus fort, rien n'est comparable quand on rencontre sa véritable âme-soeur.

    Aliénor - Le bébé, vous l'avez vue ? Vous avez des visions ? "Dis-je pour changer de sujet"

    Chapitre 11

    Elle approcha ses mains de moi, elle les posa de chaque côté de mon visage.

    La sorcière - Fermer les yeux.

    Je m'exécute directement. 
    Tout était noir, puis soudain un paysage apparu au loin, puis une maison, l'apparence est diffèrent de celles de notre époque, soudain, je suis à l'intérieur, certains objets sont étranges, j'arrive près d'une jeune femme aux cheveux foncés, je ne la vois pas correctement, puis soudain elle se retourne, elle me ressemble, certains détails sont différents, mais on dirait que c'est moi. Est-ce moi dans une autre vie ?
    Soudain, tout disparait, j'ouvre les yeux.

    Chapitre 11

    Aliénor - C'est moi dans une autre vie ? "Faiblement"

    La sorcière - Non, une descendante.

    Aliénor - Elle me ressemble tellement.

    La sorcière - Ce corps sera parfait pour elle.

    Aliénor - Vous voulez dire que c'est elle ?

    La sorcière - Uniquement si le destin suit son chemin.

    Le père - Finit de bavarder, je suis obligé de continuer, si un garde arrive, on sera tous châtier.

    Chapitre 11

    *Athalaric*

    Athalaric - Aliénor, je t'en prie soit forte ma douce. "Criais-je"

    Aliénor - Puis-je vous parlez avant. "Dit-elle péniblement à mon père"

    Il s'avança alors vers elle, se pencha, elle parla si bas qu'il m'était impossible d'entendre.

    Je vis la tête de mon père changé, puis il me regarda un instant et lui fis non de la tête, mais Aliénor continua de lui parler, il se dirigea alors vers le fouet.

    Athalaric - Père ! Que t'a-t-elle dit ? "Criais-je"

    Il me regarda un instant le visage triste, mais ne répondit point.

    Chapitre 11

    Il leva le bras et claqua le fouet de toutes ses forces sur le dos d'Aliénor, son cri était insoutenable.

    Athalaric - Père, non ! "Criais-je de toutes mes forces"

    Mais un deuxième coup retenti, puis un troisième, jusqu'à cinq.

    Je vis les jambes d'Aliénor glissé, je savais que le pilori risquait de l'étrangler si elle était incapable de tenir debout.

    Athalaric - Aliénor ! Aliénor ! "Criais-je"

    Mais elle réagit à peine, elle faiblissait, je pouvais le voir.

    Athalaric - Pitié ne m'abandonne point. "Dis-je en tombant à genoux"

    Mon père me regarda un instant, je pouvais voir de la tristesse dans son regard.

    Le père - J'espère que tu pourras un jour me pardonner. "Me dit-il"

    Chapitre 11

    Puis il leva à nouveau le bras pour lancer le fouet et le faire claquer sur le dos de ma bien-aimée.

    Un léger cri retenti, mais très faible, l'arrière de la robe d'Aliénor était en lambeau et surtout rougis par le sang, je voulais la sauver, mais il m'était impossible de sortir, je souffrais de ne point savoir la protéger et une part de moi savait qu'elle avait déjà abandonné, et qu'elle avait surement demandé à mon père d'accélérer les choses.

    Je n'avais pas d'autre choix que de regarder la vie de ma bien-aimée la quitter petit à petit.

    Cinq autres coups retentirent, au sixième il n'y avait plus aucun cri, le corps d'Aliénor était pendante au pilori, inerte.

    Mon père demanda à la sorcière d'aller voir, à son regard, je savais que tout était fini, mon père détacha Aliénor et l'allongea doucement au sol.

    J'étais en pleure, je n'arrivais plus à dire un mot, sa vie l'avait quitté m'abandonnant seul dans ce monde.

    Chapitre 11

    Le temps était comme suspendu, puis j'entendis des bruits de pas métallique au loin, quand un garde arriva.

    Le garde - Le coq vient de chanter, qu'en est-il ?

    Le père - Dites au roi que sa vie l'a quittée.

    Le garde - Je vais le prévenir, il va surement venir constater par lui-même la mort de la princesse.

    Il quitta ensuite la pièce, j'étais toujours au sol, je n'arrivais pas à croire que tout cela soit réel, je venais de perdre mon amour.

    Chapitre 11

    Mon père, c'est avancer de ma cellule, je savais qu'il voulait essayer de me réconforter, même si cela n'avait été dans ses habitudes, il n'avait jamais été doué pour cela.

    Le père - Fils, je suis désolé, j'aurais tellement voulu que les choses soient différentes. "Dit-il tristement"

    Athalaric - Laisse-moi ! Tu l'as tuée ! Assassin ! "Criais-je"

    Le roi - C'est toi qui a causé sa mort, point ton père ! "Dit-il en rentrant dans la pièce"
    Tu ne l'aurais point emmenée, elle serait encore en vie maintenant !

    Athalaric - Mensonge ! Le Duc aurait fini par la tuée ! "Dis-je énervé"

    Le roi - Ton insolence te coutera 100 coups de fouet demain !
    Aujourd'hui, c'est jour de deuil donc je te laisse en paix.

    Sorcière lave ma fille, une servante apportera une tenue déscente à lui mettre, son corps sera emmené ensuite.
    Mon bourreau te conduira à tes enfants dès que cela sera fait. "Dit-il en regardant à peine le corps de sa fille"

    Chapitre 11

    Une fois qu'il fut parti, la sorcière s'avança de mon père.

    La sorcière - Laisse ton fils embrassé une dernière fois sa femme, cette nuit, tu le libèreras, car le roi va te demander de le châtier chaque jour pendant de longues années, il faut donc que tu l'emmènes loin d'ici.

    Et vous. "Dit-elle en se dirigeant vers moi"
    Vous allez lui dire adieu et laisser votre père vous emmené loin cette nuit sans résistance, elle voulait que tu sois libre alors respecte sa volonté.

    Je ne la regarde point, mais j'acquiesça même si je ne voulais pas rester en présence de mon père.

    Il ouvrit la porte de la cellule, je sortis à toute vitesse et me jetai au sol, près du corps de ma bien-aimée.

    Athalaric - Pourquoi tu lui as demandé de te faire mourir, je ne peux point vivre sans toi mon amour. "Dis-je en lui caressant le visage"
    Je t'aime tellement. "Dis-je en pleurant"

    Chapitre 11

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  • Je ne sais pas combien de temps, je suis resté inconscient, mais quand j'ai repris mes esprits, je me trouver dans une cellule des oubliettes du château.

    Il m'a fallu quelques instants pour reprendre totalement mes esprits, je regarde tout autour de moi, mon regard fini par se diriger vers la voix que j'entendais, c'était Aliénor, elle se trouvait dans la cellule voisine à la mienne.

    Chapitre 10

    Aliénor - Athalaric ! "Dit-elle paniquée"

    Athalaric - Ce... Cela fait combien de temps que l'on est ici ? "Dis-je désorienter"

    Aliénor - La nuit est déjà tombée depuis un moment.

    Athalaric - Combien de jour ?

    Aliénor - Non toujours la même journée. "Dit-elle d'une petite voix"

    Athalaric - Ce... Ce n'est point possible nous étions à plusieurs jours du château. "Dis-je perdu"

    Aliénor - Les chevaux ont galopé très vite, mais nous n'étions pas si loin, nous avons surement dû tourner en rond pendant un moment.

    Athalaric - Tu as vu ton père ?

    Aliénor - Non, mais il va venir bientôt d'après les gardes.
    Ils sont aussi partis chercher ton père. "Dit-elle tristement"

    Athalaric - Ils ne t'on fait aucun mal ? Et le bébé ? "Dis-je en m'avançant difficilement des barreaux"

    Aliénor - Ils ne m'ont rien fait et le bébé je crois qu'il veut s'accrocher.
    Cela va rendre les choses tellement plus difficiles, je suis désolée. "Dit-elle d'une voix brisée"

    Athalaric - Tu ne m'as point dit la vérité au sujet de ta mort, c'est cela ?

    Aliénor - Pardonne-moi. "Dit-elle les yeux au bord des larmes"

    Athalaric - Ne t'excuse pas ma douce, nous serons réuni tous les trois dans la mort, enfin quatre avec notre premier enfant. "Dis-je tristement"

    Aliénor - Non Athalaric ! "Dit-elle en pleure"

    Chapitre 10

    Au moment où j'allais lui demander une explication, des bruits de pas retentirent.

    Je voulais tellement la protéger, mais ses barreaux m'en empêche.

    Athalaric - Je ne laisserai rien t'arriver ! "Dis-je en la regardant"

    Le roi arriva accompagné d'un de ses gardes, mon père à l'arrière et une femme aux longs cheveux noirs, elle avait l'air effrayée et pourtant elle ne portait point de chaine.

    Le roi - Voilà donc ma fille après toutes ses années, je te retrouve enfin et en plus de cela accompagné d'un gueux et pas n'importe lequel, le fils de mon bourreau ! "Dit-il d'un ton froid"

    Aliénor - Père, ayez pitié. "Dit-elle suppliante"

    Le roi - Pitié d'une catin, jamais ! "Dit-il en haussant le ton"

    Athalaric - Ce n'est pas une catin ! "Dis-je en me relevant"

    Le roi - Je ne t'autorise point à prendre la parole !
    Tu seras puni en conséquence, mais avant, cela sera son tour ! "Dit-il en regardant Aliénor"

    Athalaric - Non ! "Criais-je"
    Je vous interdis de la toucher ! Elle porte un enfant, vous ne pouvez point !

    Le roi - J'en ai que faire !
    Elle sera châtiée, et si au chant du coq sa vie ne l'a point quitté, vous seraient libre, mais dans le cas contraire, la malédiction de cette sorcière fera son œuvre !

    Sorcière, fais ce que j'attends de toi et tes enfants te seront rendus !

    Et toi bourreau montre à ton fils comment est punie une princesse qui désobéit à son père, je reviendrai à l'aube, ne me décevez point, car je ne serai plus clément à l'avenir !

    La sorcière s'avança d'Aliénor et commença à réciter la malédiction.

    La sorcière - Si ta vie te quitte à l'aube de ta 22e année, vos âmes seront liées, il sera condamné à ne point mourir et à vivre à travers le temps et ne pouvoir n'aimer que toi, tu reprendras vie 100 ans après chacune de tes morts et tu périras à chaque fois à ta 22e année sous ses yeux, dans chacune de tes vies, vous serez réuni pour être à nouveau séparé dans la douleur !

    Chapitre 10

    Une fois fini elle se tourna vers le roi.

    Le roi - Tu resteras ici, jusqu'au chant du coq, tu assisteras au châtiment, tu récupéreras tes enfants uniquement à l'aube.

    Vous me ferez appeler quand tout cela sera terminé !

    Athalaric - Tuer moi, mais pitié ne lui faite aucun mal, tout est de ma faute !

    Le roi - Tu ne mourras point ! Cela serait une punition trop clémente, mais si elle vit, vous serez libre, je n'ai qu'une parole.

    Chapitre 10

    Il tourna les talons et quitta la pièce sans plus ce retourné.

    Athalaric - Père, je vous en prie, aider-nous. "Dis-je suppliant"

    La sorcière s'avança d'Aliénor et lui tendu une gourde.

    La sorcière - Buvez ceci, cela facilitera les choses.
    Mais vous savez ce que vous avez à faire, malheureusement cette enfant à décider de s'accrocher malgré votre tentative, j'en suis désolée.

    Quand Aliénor s'avança pour boire ce que contenait la gourde, la femme s'approcha et lui chuchota quelques-choses, je vis alors Aliénor acquiescée de la tête.

    Athalaric - Que t-a-t-elle dit ? "Dis-je en m'avançant des barreaux"

    Aliénor - Je t'aime tellement Athalaric, sache que je t'aimerai toujours. "Dit-elle en larmes"

    Elle s'avança alors de la porte, mon père la fit sortir et l'attacha au pilori.

    Athalaric - Père je vous en prie, ne fait point cela ! "Dis-je en criant"

    Le père - Tu aurais dû penser aux conséquences. "Dit-il en évitant de me regarder"

    Il se dirigea vers un fouet, il le prit puis rejoint Aliénor.

    Le père - Je ne fais point cela par plaisir. "Lui dit-il"

    Puis il leva le bras et lui porta le premier coup, puis un deuxième et un troisième.

    À chaque coup les cris d'Aliénor étaient de plus en plus fort, je criais de toutes mes forces, suppliant à chaque fois mon père d'arrêter, en vain.

    Chapitre 10

    Après dix coups, il s'arrêta et demanda à la sorcière de donner une gorgée d'eau à Aliénor, il s'approcha de moi un instant.

    Le pèreTu sais que je ne fais point cela par plaisir Athalaric. "Dit-il doucement"

    Athalaric - Tu pourrais nous aider à fuir, pitié, arrête de la châtier. "Dis-je avec la voix tremblante"

    Le pèreJe ne peux point faire cela, la punition serait bien plus lourde. 
    Je ferai le maximum pour qu'elle survive jusqu'au chant du coq, je ne peux point faire plus, il pourrait envoyer un garde à tout moment, je suis désolé mon fils pour ce que je fais.

    Chapitre 10

    Suite demain ;)

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  • Le lendemain...

    Chapitre 9

    Le coq chante, je me lève péniblement, la nuit à était longue, je n'ai pas arrêté de penser à ce qu'Aliénor m'avait annoncé, je pense à cet enfant qui ne verra jamais le jour à cause de la prédiction d'une vieille femme.

    Quand Aliénor aura pris la deuxième décoction, il n'y aura plus de retour en arrière, même si c'est pour une bonne raison, je n'arrive pas à l'accepter, je vais faire comme-ci pour soutenir Aliénor, mais cela me rend triste intérieurement.

    Chapitre 9

    Je finis par me lever et me diriger dans l'autre pièce pour me rafraichir, j'enfile ensuite une tenue, je vais ensuite au jardin pour m'occuper des poules et entretenir les récoltes, je ne prends pas la peine de manger quoique se sois, pour l'instant, je n'ai pas d'appétit.

    Le temps passe, cela fait déjà longtemps que je suis dehors, surement la demi-journée à en juger la position du soleil, je n'ai pas encore vu Aliénor, elle doit surement aussi avoir le moral au plus bas au vu de la situation.

    Après un certain temps, je la vois par la fenêtre.

    Aliénor - Athalaric la pitance est prête. "Cria-t-elle"

    Athalaric - J'ai encore beaucoup à faire ici, je mangerai plus tard.

    Aliénor - N'essaye pas de m'éviter Athalaric, je ne veux point manger seule encore.

    Chapitre 9

    Je finis par me résigner, j'arrête ce que je fais et je rejoins Aliénor à l'intérieur.

    Aliénor - Tu essayais de m'éviter ? Ce matin, tu m'as laissé manger seule.

    Athalaric - Pardonne-moi ma douce, mais la récolte me prends beaucoup de temps et je voudrais terminer cela pour pouvoir encore agrandir le jardin.

    Aliénor - Je ne suis point aveugle, je sais que c'est ce que je t'ai annoncé qui te dérange, mais il faut que tu comprennes que pour moi aussi c'est dure.

    Athalaric - Je sais ma douce, j'ai très bien compris que tu ne pouvais point avoir cette enfant.
    Tu as pris la deuxième décoction ?

    Aliénor - Oui je l'ai prise ce matin, mais je ne ressens rien de particulier.

    Athalaric - Peut-être que c'est un signe du destin qui te montre qu'elle s'est trompée.

    Aliénor - Il n'y a pas d'erreur Athalaric.

    Athalaric - J'ai l'impression que tu ne me dis pas toute la vérité.

    Aliénor - S'il t plaît demain à l'aube je fête ma 22e année, je ne veux point que l'on se fâche.

    Athalaric - C'est vrai pardonne-moi ma douce, c'est juste que j'ai beaucoup de mal à gérer cette situation.

    Chapitre 9

    Aliénor - Si on aller à la rivière avant la tombée de la nuit, il y a longtemps que l'on a plus était là-bas tout les deux.

    Athalaric - Tu as une idée en tête ? "Dis-je en l'enlaçant"

    Aliénor - C'est possible. "Dit-elle en gloussant"

    Je l'ai prise dans mes bras et je l'ai embrassée avec passion.

    Chapitre 9

    Après le repas, j'ai terminé de m'occuper du jardin, je voulais absolument terminer cela avant de partir pour la rivière.

    Chapitre 9

    Je me suis hâté de terminer la récolte des derniers légumes, puis nous avons pris la route.

    Arriver à la rivière, nous nous sommes dévêtus et sommes rentrés dans l'eau, elle était un peu froide, mais cela ne nous à point gêné longtemps.

    Après un moment, Aliénor s'est avancée vers moi avec une étincelle dans les yeux, je savais ce qu'elle voulait, au début, j'ai un peu hésité, je ne savais pas quand la décoction ferait vraiment effet, j'avais peur de lui faire mal, mais très vite elle m'a fait comprendre que tout allais bien, je n'ai donc plus résisté et puis comment résister à une si belle femme.

    Chapitre 9

    Nous avons profité de ce moment aussi longtemps que possible, puis nous avons repris la route avant que la nuit ne tombe totalement et surtout nous voulions profiter du confort de notre lit.

    Chapitre 9

    Puis d'un coup, j'ai entendu des bruits plus loin devant nous, c'était des chevaux, au début, je ne me suis pas inquiété, mais l'un deux, c'est approché trop près, c'était l'un des gardes du château, le temps que je réagisse pour dire à Aliénor de s'éloigner, il avait vu son visage, l'avait reconnue, il cria alors son nom.

    Je lui ai dit de courir aussi vite que possible, je la suivais de près, puis j'ai entendu les chevaux au galop se rapprocher, j'ai ressenti une douleur à l'arrière à la tête, puis plus rien le trou noir.

    Chapitre 9

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  • Les mois et surtout les années sont passées, j'ai maintenant 23ans et Aliénor 21ans, 22ans dans quelques jours, notre vie était plutôt paisible, j'avais un peu agrandi notre chez-nous, j'ai même augmenté la taille du jardin pour avoir de plus grandes récoltes.

    Nous avions tout pour être heureux, enfin presque, ce qui nous manquer, c'était le bonheur d'avoir un enfant.

    Depuis qu'Aliénor a perdu notre enfant, elle n'est plus jamais retombée enceinte, elle a même fini par croire que le sort nous punissait d'avoir pris la fuite, mais je n'y crois point, je ne cesse de lui répéter que le destin attend juste le bon moment pour nous donner un enfant.

    Chapitre 8

    Ce matin était un jour parmi tant d'autres, le coq avait à peine fini de chanter, que j'étais déjà levé, Aliénor dormais encore, je ne fis pas de bruit pour ne point la réveiller, je me rafraîchis et m'habille et je vais vite dehors ramasser les œufs et nourrir les poules.

    Chapitre 8

    Une fois terminé, je rentre préparer la pitance, mais à peine terminer, j'entends Aliénor se lever.

    Aliénor - Pourquoi tu m'as point réveillé ?

    Athalaric - Je voulais tout préparer avant ton réveil.

    Aliénor - Si tu commences à tout faire, je vais devoir trouver d'autres occupations. "Dit-elle en se blottissant dans mes bras"

    Athalaric - J'aime prendre soin de toi. "Dis-je en l'embrassant"

    Aliénor - Tu es un homme bon Athalaric.

    Athalaric - Même quand je menace de te fesser ?

    Aliénor - Oui car tu ne le fait point. "Dit-elle avec le sourire"

    Athalaric - Pourtant, je t'ai déjà fessé.

    Aliénor - C'était avant que je sois vraiment tienne cela ne compte point.
    Aller, mangeons, cela va être froid et tu m'as promis que je pourrais t'accompagner au village aujourd'hui et je ne voudrais point démarrer trop tard.

    Chapitre 8

    Après le repas, Aliénor a débarrassé la table, pendant que moi, je chargeais une petite partie de la récolte pour la vendre au village.

    Une fois prêts, nous avons pris la route, nous avons dû faire une halte, car Aliénor ne se sentait pas très bien.

    Athalaric - Tu es certain que tu te sens bien ma douce ?
    Je peux te ramener à la cabane.

    Aliénor - Laisse-moi juste quelques instants me reposer.

    Athalaric - Tu es certaine que cela ira ?
    Depuis quelques jours, tu sembles fatiguée.

    Aliénor - Ne t’inquiète pas, je vais bien, c'est juste la chaleur qui m'épuise. "Me dit-elle avec le sourire"

    Chapitre 8

    Après quelques instants, nous avons fini par reprendre la route.
    Quand nous sommes arrivés au village, Aliénor était pâle.
    Elle s'arrêta près d'un buisson, hors de la vue de tous, pour vomir le repas de ce matin.

    Athalaric - Ne me dis pas que c'est la chaleur, tu es malade. "Dis-je en m'avançant vers elle"

    Aliénor - J'ai juste besoin de quelques plantes pour faire des tisanes, cela ira mieux dans quelque temps.

    Athalaric - Je vais t'emmener voir la guérisseuse du village, c'est elle qui prépare les remèdes ici.

    Après avoir vendu quelques légumes pour 15 pièces, j'emmène Aliénor voir la guérisseuse.
    Quand elle nous vit arriver, elle demanda à Aliénor de l'accompagner à l'intérieur et me demanda d'attendre dehors.

    Chapitre 8

    *"Aliénor"*

    La vieille dame - Vous ne lui avait point dit ? "Dit-elle en montrant mon ventre du doigt"

    Aliénor - Non, j'attends d'être certaine que tout se passe bien.

    La vieille dame - Une ombre plane sur vos deux âmes mon enfant.
    Malheureusement je ne peux point vous aider pour cela, vous êtes destinés à vivre cette épreuve. Votre père va faire appel à une ensorceleuse quand il vous aura retrouvé.

    Aliénor - Il va nous retrouver ?

    La vieille dame - Vous allez être maudit, mais la malédiction qu'elle va vous jeter sera importante pour vos âmes, même si cela vous paraît cruel. Il ne t'es point destiné mon enfant, mais vous devrez être réunis puis séparer à plusieurs reprises à travers le temps et un jour ton âme sera libre et tu devras la guider vers lui.

    Aliénor - Je ne comprends point !
    Va-t-on périr ?

    La vieille dame - Ton corps oui mais point ton âme. Lui sera condamné à te perdre encore et encore à travers les siècles. Je suis désolée de ne point t'annoncer de bonnes nouvelles.
    Profiter des quelques instants qu'il vous reste à passer ensemble, c'est le plus important.

    Aliénor - Quand ? Quand vais-je mourir ?

    La vieille dame - Lors de ton 22e anniversaire.

    Aliénor - Deux jours ! C'est trop tôt ! "Dis-je choquée"

    La vieille dame - Vous vous retrouverez et quand ton âme sera libérée et que tu l'auras guidée, tu reviendras au monde pour celui qui te sera vraiment destiné.

    Aliénor - C'est lui qui m'est destiné ! "Dis-je avec conviction"

    La vieille dame - Vos âmes doivent juste faire un bout de chemin ensemble.
    Il est destiné à une âme pure qui n'a encore jamais pris forme humaine.
    Et toi ta véritable âme sœur te sera rendue.

    Aliénor - Alors pourquoi me permettre de porter à nouveau un enfant, si c'est pour que je meure si tôt ?!

    La vieille dame - Il y a eu une erreur dans la destinée, elle ne peut point juste être sa fille.
    Et c'est mille ans trop tôt pour elle.

    Je touche mon ventre, une larme coule sur mon visage.

    Aliénor - Je ne lui donnerai jamais d'enfants. "Dis-je tristement"

    La vieille dame - Non toi jamais, mais tu enfanteras un jour et lui aura une descendance également si vous suivez la route qui vous est destinée.

    Je repris mes esprits, je ne pouvais point trainer, Athalaric risque de s'inquiéter.

    Aliénor - Donner moi des plantes pour faire une décoction, je ne veux point la porter le jour de ma mort, je risque de vouloir me battre pour elle. "Dis-je avec les larmes au bord des yeux"

    La vieille dame - Une ce soir et une au matin, cela devrait être rapide. "Dit-elle en me donnant deux petits sacs d'herbes"
    Cela risque d'être un peu douloureux.

    Aliénor - J'ai déjà perdu un enfant, je sais ce que c'est.
    Merci "Dis-je en me retournant vers la vieille dame"

    Je pris une grande inspiration, frotta mes yeux et sorti rejoindre Athalaric.

    Chapitre 8

    *"Athalaric"*

    Après un bon moment à attendre, elle finit par sortir, ses yeux sont rougis.

    Athalaric - Cela ne va pas ma douce ? Tu as pleuré ? "Dis-je en m'avançant"

    Aliénor - Tout va bien ne t'inquiète pas. "Dit-elle en esquissant un sourire"

    Athalaric - C'est des herbes pourquoi ?

    Aliénor - Pour m'aider à être moins fatiguée.
    Demain cela ira beaucoup mieux.
    Viens, rentrons chez nous.

    Chapitre 8

    Nous avons donc repris la route pour rentrer chez nous, nous avons encore dû faire une halte pour Aliénor, j'avais de plus en plus l'impression qu'elle me cache quelque chose, depuis que nous avons quitté le village, elle n'a pratiquement point parlé.

    Nous avons très vite repris la route, une fois enfin arrivés à la cabane, Aliénor rentra sans un mot, je pouvais lire la tristesse dans son regard, je rentre à mon tour et la retiens doucement par le bras.

    Athalaric - Dis-moi ce qui te préoccupe, je veux savoir ce qu'elle t'a dit pour te mettre dans cet état.

    Aliénor - Elle ne m'a rien dit de particulier, juste de boire cette décoction et que tout irait mieux.
    Arrête de te faire du souci, tout va bien.

    Athalaric - D'accord, tu m'en parleras quand tu le désireras.
    Je vais aller terminer de m'occuper des plantes.

    Chapitre 8

    Je suis sorti et j'ai commencé à récolter les derniers légumes, la chaleur était étouffante, travaillé par cette chaleur n'était point chose facile.

    Au bout d'un moment, Aliénor a crié après moi par la fenêtre, la pitance était enfin prête.

    Je suis donc rentré et me suis rafraichi le visage, avant de me mettre à table.

    Chapitre 8

    Après le repas, je suis allé à la rivière non loin de chez nous, prendre de l'eau pour remplir notre bain, avec cette chaleur cela nous fera le plus grand bien.

    Aliénor fut la première à se laver, j'en ai profité pour sortir préparer du bois pour le lendemain.

    Chapitre 8

    Quand je suis rentré, elle était sortie de l'eau et était assise avec la décoction en face d'elle, je pouvais voir qu'elle avait pleuré, cette fois, je devais savoir ce qu'elle me cachait.

    Athalaric - Cette fois ne me dis pas que tout va bien, je ne suis point idiot Aliénor.
    À quoi sert cette décoction ? Que t'a-t-elle dit ? Je veux savoir et ne me mens point !

    Aliénor - Je... Je vais mourir Athalaric. "Dit-elle avec des larmes au bord des yeux"

    Athalaric - Quoi ?! Et cette décoction à quoi sert-elle ? "Dis-je paniqué"

    Aliénor - C'est pour le bébé, je ne peux point continuer à le porter, je suis tellement désolée. "Dit-elle en pleure"

    Athalaric - Tu portes un enfant ? Elle t'a dit que tu allais mourir en couches, c'est cela ? C'est pour cela que tu ne le veux point ? Explique-moi ?

    Elle me fixa un moment sans dire un mot, je commençais à m'impatienter, je voulais surtout comprendre.

    Athalaric - Je t'en prie dit moi si c'est cela qu'elle t'a annoncé ? "Dis-je tristement"

    Aliénor - Oui c'est bien cela.
    Je ne peux point la porter plus longtemps, je n'en ai pas la force.

    Les larmes commencées à me monter aux yeux, mais fis mon maximum pour les contenir.

    Athalaric - La porter ? Elle t'a dit que c'était une fille ? Mais elle peut se tromper, peut-être que tu ne mourras point. Je ne te laisserai pas boire cette décoction ! Je refuse Aliénor.

    Aliénor - J'ai déjà avalée quelques gorgées, elle n'est pas destinée à voir le jour maintenant, je t'en prie Athalaric.

    Athalaric - Je veux être père, peux-tu comprendre cela ! "Dis-je énerver"
    Elle est vieille, elle peut très bien se tromper Aliénor !
    Elle n'est pas la sorcière la plus puissante des environs, on ira en voir une autre et tu verras que rien ne t'arrivera.

    Aliénor - Je crois en ses paroles ! Tu seras père un jour, je t'en fais la promesse, mais pas maintenant, s'il te plait Athalaric ne complique pas les choses.

    Je sortis à toute vitesse de la cabane, j'avais besoin de réfléchir à ce qu'elle venait de m'annoncer, je n'arrivais pas à la croire, j'avais la sensation au fond de moi qu'il y avait une autre vérité qu'elle me cachait.

    La nuit était tombée, j'étais là assis sur un tronc d'arbre non loin de chez nous, quand soudain je la vis arriver et s'installer à côté de moi.

    Aliénor - J'ai besoin que tu me soutiennes Athalaric, je ne veux pas que tu sois en colère contre moi, je veux aussi cet enfant, mais je ne peux point, essaie de me comprendre, je vais mourir, je dois faire quelque chose.

    Athalaric - Je ne veux point te perdre, je ne pourrais vivre sans toi.
    Alors j'accepte que tu boives le reste de cette décoction si cela peut m'éviter de te perdre.
    Je préfère ne pas avoir d'enfant, pour que tu vives.

    Aliénor - Dans quelques jours, tu comprendras aussi que c'était la meilleure chose à faire.
    Je t'aime mon bien-aimé.

    Athalaric - Je t'aime aussi ma douce.

    Nous sommes restés assis là un moment blottis l'un contre l'autre sous la lumière de la lune.

    Chapitre 8

    J'espère que ce chapitre vous a plu. 
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