Le reste de la journée a était assez difficile, l'orage à rendu les garçons grognon, heureusement le temps c'est calmé à la tombée de la nuit, Aurore est donc montée endormir nos fils.

Pendant qu'elle s'occupe des enfants, je suis sorti prendre l'air, j'étais inquiet de savoir ce qu'elle avait à me dire.

Après un moment à contempler les étoiles, j'ai entendu la porte s'ouvrir.

Aurore - Que fais-tu dehors ? Cela ne va pas ?

Athalaric - Si ça va, enfin peut-être un peu inquiet de ce que tu vas me dire.

Aurore - J'ai besoin que tu sois honnête envers moi, nous reste-t-il encore assez de pièces, pour acheter du grain pour le reste de l'hiver ?

Athalaric - Pas vraiment.

Aurore - Comment ça pas vraiment ? Athalaric, j'ai besoin de savoir si on saura nourrir nos garçons cet hiver ? "Dit-elle en venant face à moi"

Athalaric - J'irai chasser plus, je ferai tout ce qu'il faut pour que vous ayez de quoi manger, je t'en fais la promesse, ma douce.

Aurore - Donc ce n'est absolument pas le moment qu'on ait un enfant de plus, ce n'est pas le moment que je mange plus encore.
J'irai alors cueillir ce qu'il faut pour la tisane. "Dit-elle tristement"

Athalaric - Une tisane, non ! Je refuse que tu te débarrasses de cet enfant. "Dis-je en me levant"

Aurore - Athalaric, je... je ne veux pas faire cela, mais... nos fils sont notre priorité, mais si on ne peut pas se permettre un enfant de plus, c'est la meilleure chose à faire. 

Athalaric - Te voir porter mes enfants est un miracle pour moi, je veux ce bébé, notre bébé, je... je te promets que je vais arranger la situation, tout ira bien, je te le promets ma douce. "Dis-je en la prenant dans mes bras"

Aurore - Tu es certain, tu sais, je te donnerai encore des enfants.

Athalaric - J'en suis plus que certains ma douce, je t'aime. "Dis-je en l'embrassant"

Nous avons continué de discuter, puis nous sommes rentrés nous coucher.

Il commencé à faire froid, j'ai donc remis du bois dans le feu en bas et j'ai allumé le feu de l'étage, pendant qu'Aurore de son côté nourrissait notre fils.

Quand Aurore a eu fini de s'occuper du bébé, je l'ai attirée doucement contre moi pour l'embrasser, je n'étais pas fatigué et je n'avais qu'une envie, c'est de lui faire l'amour, je l'ai alors attirée doucement vers le lit, tout en ne quittant pas ses lèvres.

Le deuxième chapitre de la journée sortira au soir, n'étant pas chez moi, il m'est impossible de corriger mon texte avant pour le publier plus tôt.

Venez découvrir les deux premiers prologues de ma nouvelle histoire

"La prophétie de la lune rouge"

Pour ceux qui ne l'aurai pas encore lu le chapitre 36 de "la deuxième vie de Lucie" est en ligne :)

J'espère que ce chapitre vous a plu. 
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