Aujourd'hui, cela fait déjà 68jours que notre troisième fils à vu le jour, les premiers jours n'ont pas étaient facile, surtout pour les garçons, maintenant ils devaient nous partager avec leur petit frère, enfin c'est surtout leur mère qu'ils ne voulaient pas partager.

Après quelques jours, ils se sont habitués à sa présence, mais ce n'est pas pour autant que les choses sont simples à la maison, bien du contraire.

Les enfants grandissent et je dois faire en sorte que nous ne manquions de rien, car une fois l'hiver installer, nous ne pourrons plus compter sur les récoltes pour nous nourrir et sans récolte nous n'aurons plus de rentrer d'argent, enfin je pourrais toujours vendre des oeufs, mais cela ne sera pas suffisant pour l'hiver au complet.

J'avais donc beaucoup de pression sur les épaules et je ne pouvais pas en parler à Aurore, pour ne pas l'inquiéter davantage.

Ce matin fait partie des matins ou je me réveille bien avant le chant du coq, l'inquiétude de ne pas pouvoir prendre soin de ma famille comme il se doit me pèse et m'empêche de dormir.

Et aujourd'hui, je ne suis pas le seul à être réveillé tôt, Théodran aussi, je suis donc sorti du lit, tout en faisant attention à ne pas réveiller Aurore, et j'ai pris mon fils dans les bras.

Aurore et les enfants illuminent va vie, me donnant chaque jour plus de force pour affronter l'avenir.

Après avoir remis mon fils dans son berceau, je suis descendu et j'ai allumer le feu, la température commencer à descendre et cela se ressentais dans la maison maintenant, je me suis ensuite habillé pour aller nourrir les animaux et pour récolter les derniers légumes qui daigne encore pousser à cette période.

Une fois le jardin terminer, j'ai pris de quand pêcher et je suis aller au bord de l'eau, je voulais absolument prendre du poisson pour le repas.

La journée était déjà bien entamée quand j'ai enfin attrapé le premier poisson, il était bien gros et j'aurai très bien pu rentrer, mais j'ai préféré rester plus longtemps.

Ma patience à porter ses fruits, car j'ai fini par attraper un deuxième poisson, ce qui signifier que maintenant il était plus que temps de rentrer auprès de ma famille.

Quand je suis rentré à la maison, j'ai déposé les poissons sur la table, puis je suis allé auprès d'Aurore.

Athalaric - Bonjour ma douce, pourquoi pleure-t-il ?

Aurore - Je crois qu'il a encore mal au ventre, j'ai essayé de lui faire avaler quelques gouttes de tisane, mais cela n'a pas l'air de faire de l'effet.

Athalaric - Si tu veux, je peux essayer de le calmer pendant que tu prépares le poisson.

Aurore - D'accord, peut-être que toi tu y arriveras. "Dit-elle en mettant le bébé dans mes bras"

J'ai bercé le bébé un long moment, puis quand il a cessé de pleurer, je l'ai mis dans son berceau et il s’est enfin endormi paisiblement.

Alaric est ensuite venu près de moi, réclamant que je m'occuper aussi un peu de lui, il faut l'avouer ses derniers jours, je suis très peu à la maison, j'ai donc profité qu'Aurore cuisine les poissons pour passer du temps avec mes fils.

Une fois le repas près, nous nous sommes installés à table pour manger, les garçons manger sagement, même s’ils mettaient de la nourriture partout.

A la nuit tombée, Aurore était montée à l'étage, mettre les enfants au lit.

Pendant que moi, j'étais sorti m'aérer la tête, j'avais besoin d'être encore un peu seul pour trouver une solution, pour nous réussir à tenir tout l'hiver.

Venez découvrir le premier prologue de ma nouvelle histoire

"La prophétie de la lune rouge"

Pour ceux qui ne l'aurai pas encore lu le chapitre 51 de "destinée à mourir" est en ligne :)

J'espère que ce chapitre vous a plu. 
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Deuxième chapitre de la journée, si vous n'avez pas encore lu le premier, vous le trouverez >ici<

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La nuit s'écoula doucement, Aurore avait passer un bon moment debout à faire les cent pas, essayant de contenir un maximum ses cris pour ne pas réveillé les garçons, je lui ai également fait chauffer un bain, espérant que cela soulage un peu sa douleur, mais en vain.

N'arrivant plus à tenir debout, je l'ai installer sur le lit, tout en essayant au mieux de la soutenir.

Athalaric - Courage, notre bébé sera vite là. "Dis-je en m'installant près d'elle"

Aurore - Pourquoi.... cela .... fait toujours si mal. "Dit-elle en se tordant de douleur"

Athalaric - Respire ma douce. "Dis-je en lui mouillant le visage à l'eau"

Aurore - C.... C'est le dernier, je... je n'en veux plus. "Dit-elle entre deux douleurs"

Athalaric - D'ici quelque temps tu diras le contraire. "Lui dis-je en souriant tendrement"

Aurore - On voit bien que.... ce n'est pas toi qui souffres.

C'est lors des premières lueurs du jour que la délivrance se produisit.

Après une dernière poussée, Aurore mit au monde notre troisième merveille, notre troisième fils.

Athalaric - C'est un garçon ma douce, il est magnifique. "Dis-je fou de joie"
Quel nom va-t-on lui donner ? "Lui demandais-je"

Aurore - J... j'avais plusieurs idées pour une fille, mais... aucune pour un garçon. "Me dit-elle à bout de souffle"

Athalaric - Que penses-tu de Théodran ? Ce n'est pas commun au moins.

Aurore - Théodran ? Oui, j'aime beaucoup. "Dit-elle en tendant les bras"

Je lui ai alors mis notre fils dans les bras, pour qu'elle puisse faire connaissance avec lui.

Aurore - Il ne ressemble pas beaucoup à ses frères. "Dit-elle en le berçant tendrement"

Athalaric - Il te ressemble beaucoup au même âge. "Dis-je en les regardant avec tendresse"

Pour ceux qui ne l'aurai pas encore lu le chapitre 50 de "destinée à mourir" est en ligne :)

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Le temps étais passé, le ventre d'Aurore est énorme, bien plus rond qu'avec les garçons, nous espérions quand même que cette fois il n'y en aurai qu'un seul, car avec deux de plus nous serions très vite déborder.

Les garçons quant à eux, ils avaient fêtés leur premier anniversaire, ils se ressembles énormément et par dessus tout ils me ressembles.

Ce sont de vrais petits anges, ils passent énormément de temps à jouer avec leurs cubes et à discuter ensemble, à croire qu'ils ont un langage secret bien à eux.

Quand je pense qu'avec tous mes doutes, j'ai failli ne pas faire partie de leur vie, heureusement qu'Aurore est restée auprès de moi.

Depuis la naissance des garçons et que nous avons découvert qu'Aurore porter encore un enfant, j'avais fait beaucoup de changement dans la maison, notre chambre est maintenant à l'étage avec celle des garçons, et j'ai utilisé la chambre du bas pour agrandir la maison et nous créer un espace pour le bain proche de la cheminer, permettant à Aurore de laver nos fils à proximité d'une source de chaleur.

J'ai également agrandi le jardin et j'ai commencé à augmenter notre stock de bois, la saison froide approche et je voulais que tout soit près pour que ma famille ne manque de rien quand l'hiver sera là.

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Vingt jours plus tard, l'automne commencer doucement à s'installer, le soleil était encore très présent, mais les nuits devenaient un peu plus froide.

Ce matin je fus réveillé non pas par le chant du coq, mais par Aurore, déjà bien en forme de si bon matin.

Cela faisait quelques jours qu'elle était très demandeuse de câlin au réveil.

Après avoir glissé doucement sa main sur mon caleçon pour me faire ouvrir les yeux, elle s'installa au-dessus de moi.

Athalaric - Alors ma douce, tu as encore envie ce matin ? "Dis-je tendrement"

Aurore - Peut-être. "Dit-elle en gloussant"

J'aimais tellement l'entendre rire de la sorte, je suis fou amoureux d'elle, bien plus que ce qui m'avais été autorisé par la malédiction jusqu'à maintenant.

Je l'ai aidée à se débarrasser de son haut, tout en caressant chaque partie de son corps, je l'ai ensuite basculé délicatement sous moi, pour lui retirer sa culotte, j'en ai profité pour me débarrasser de mon caleçon.

J'ai commencé à jouer avec sa poitrine, libérant ainsi un petit gémissement de sa bouche, j'ai attrapé sa bouche avec la mienne et je lui ai fait l'amour.

Nous nous sommes ensuite assoupis, Aurore blottie dans mes bras, profitant du calme.

Mais nous fûmes vite interrompus par les rires provenant de la chambre des garçons, nous indiquant qu'ils étaient réveillés.

J'ai dit à Aurore de rester couchée encore un peu, puis j'ai étais chercher mes fils pour descendre leurs préparer à manger.

Je leur ai servi leurs repas et je me suis installé à table pour manger, tout en gardant un oeil sur eux.

Le reste de la journée, c'est déroulé comme chaque jour, je passais pratiquement toute ma journée dehors entre les récoltes et m'occuper des animaux, Aurore quant à elle, elle s'occuper des petites récoltes intérieures et surtout de nos enfants, toujours la même routine.

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Deux jours plus tard, alors que nous dormions tous paisiblement.

Je fus réveillé par Aurore, qui me secouer tout en tenant son ventre, m'annonçant l'arrivée de notre bébé.

Le deuxième chapitre du samedi sera en ligne à 17h. :)

Pour ceux qui ne l'aurai pas encore lu le chapitre 33 d'hier de "la deuxième vie de Lucie" est en ligne :)

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Quatre-vingt-deux jours ce sont écoulées depuis la naissance des bébés, leurs présences est un vrai bonheur pour nous, même si au début les choses on était très compliqué, surtout pour Aurore, un bébé demande déjà énormément d'attention, mais deux c'est encore pire, les premiers jours j'ai vu Aurore complètement épuisée, il faut dire qu'ils étaient souvent collés à ses seins, il n'y avait que cela qui les faisaient taire.

Elle passait donc une grande partie de la journée les seins à l'air, en la voyant comme cela je n'avais qu'une envie, mais malheureusement elle refusait que je lui fasse l'amour, ce que je pouvais totalement comprendre au début.

Maintenant les garçons dormaient enfin leurs nuits complètes depuis environ 10 jours, je voyais enfin Aurore revivre.
Et surtout, nous pouvions enfin dormir sans être réveillés.

Ce matin c'est un peu avant le chant du coq, que les petits ce sont réveillés, Aurore était donc la première levée, j'en profiter pour l'observer s'occuper de nos fils, être mère lui aller à merveille et j'étais plus que fière qu'elle soit la mère de mes enfants.

Quand elle eu finit de s'occuper d'eux, je me suis levé et je me suis placé derrière elle, la prenant ainsi dans mes bras.

Athalaric - Tu sais as quoi je pense là maintenant ? "Dis-je en la serrant contre moi"

Aurore - Je crois savoir. "Dit-elle en se tournant face à moi"

J'ai doucement caressé son visage, je pouvais lire le désir dans ses yeux.

Athalaric - Je t'aime ma douce.

Aurore - Je t'aime aussi.

Je l'ai alors soulevé et je suis allé m'asseoir sur lit avec elle sur mes genoux, elle me laissa lui retirer son haut, j'ai alors capturé ses lèvres avec les miennes.

Nous avons ensuite fait l'amour, en faisant au mieux pour ne pas faire trop de bruit et ne pas réveiller les bébés.

Nous avons pris du plaisir à plusieurs reprises, et avons fini par nous blottir l'un contre l'autre tout en essayant de reprendre notre respiration.

Mais à peine nous nous étions assoupis, que des pleurent retentir, annonçant qu'il était plus que temps de nous lever.

Nous nous sommes donc levés, Aurore s'occupa des garçons, pendant que de mon côté, je préparais la pitance.

Le reste de la journée à était chargée, j'ai passer une bonne partie de la journée au jardin à m'occuper des récoltes et de m'occuper un peu de mes fils pendant qu'Aurore laver le linge.

Nous avons fini par nous endormir d'épuisement peu de temps après le coucher du soleil.

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Les jours passèrent à vive allure, les garçons changeaient de plus en plus et j'avais de plus en plus hâte qu'ils fêtent leur premier anniversaire, quant à Aurore, elle rayonne et surtout elle s'arrondit, nous allions accueillir un autre bébé peu après l'anniversaire de nos fils, et j'en étais aussi plus qu'heureux également.

Pour ceux qui ne l'aurai pas encore lu le chapitre 32 d'hier de "la deuxième vie de Lucie" est en ligne :)

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J'ai pris du retard au village, le temps que je reprenne la route, la nuit avait commencé à tomber.

J'étais proche de la maison quand la pluie s’est mise soudainement à tomber, je me suis alors mis à galoper, pour rejoindre rapidement Aurore, qui doit énormément s'inquiéter de mon retard.

Quand je suis arrivé près de la maison, j'ai entendu des cris retentir, je suis descendu à toute vitesse de mon cheval et je l'ai installé dans l'enclos rapidement.

Je suis alors rentré en courant, les cris venaient de la chambre, quand je suis entré dans celle-ci, Aurore était allongée, en sueur.

Athalaric - Aurore ! Depuis combien de temps ? "L'interrogeais-je inquiet"

Aurore - La .... mi-journée ! Aaaaaaaaah ! Cela fait mal ! "Cria-t-elle"

Athalaric - Je n'aurai jamais dû te laisser seule. "Dis-je en allant près d'elle"

Aurore - Je.... crois... qu'il arrive ! "Dit-elle en poussant"

Athalaric - Respire ma douce. "Dis-je en lui tenant la main"

Après plusieurs longues poussées, je voyais enfin la tête de notre bébé.

Athalaric - Encore un petit effort ma douce, je le vois, il est bientôt là. "L'encourageais-je"

Aurore - Je n'ai plus.... la force de pousser. "Dit-elle à bout de souffle"

Athalaric - Allez, pousse encore, pousse.

Aurore poussa une dernière fois de toutes ses forces, le bébé était enfin là, je coupe vite le cordon, alors que le bébé poussa son premier cri.

Athalaric - C'est un garçon, un magnifique petit garçon. "Dis-je en le tenant dans mes bras avec fierté"

Aurore pleurait de joie, tout en reprenant son souffle.

Je lui tendis alors notre fils dans ses bras.

Aurore - Il... te ressemble. "Dit-elle avec le sourire"

Athalaric - Comment va-t-on le nommer ? "Dis-je en les regardant tendrement"

Aurore - Qu'est-ce que tu penses d'Alaric ? "Dit-elle en me regardant avec le sourire"

Athalaric - Alaric, c'est parfait.

Mais la joie fut de courte durée, elle fut prise à nouveau de douleur, j'ai alors pris le bébé pour le poser sur le lit.

Athalaric - Ma douce, que se passera-t-il ? "Dis-je inquiet"

Aurore - Cela... recommence. "Dit-elle en poussant à nouveau"

Après quelques poussées supplémentaires, je fus surpris de voir une tête apparaitre.

Athalaric - Il y en a un autre, pousse, pousse ma douce.

Aurore - Je.... n'y arrive.... plus. "Dit-elle épuisée"

Elle rassembla les quelques forces qu'il lui rester pour pousser, le deuxième bébé vint alors au monde.

Athalaric - C'est un garçon, nous avons deux fils ma douce. "Dis-je heureux"

Aurore - Deux, pas étonnant que cela bouger énormément dans mon ventre. "Essaya-t-elle de plaisanter"

Athalaric - Quel nom pourrait-on te donner, pourquoi pas Ageran "Dis-je en m'adressant au bébé"

Aurore - Ageran, cela lui va très bien.

Après toutes les années que j'ai traversées, les épreuves, voilà qu'aujourd'hui Aurore me fit les deux plus beaux cadeaux du monde, mes fils.

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