Bonjour, désolée pour cette très longue absence sur mes histoires, mais me revoilà bien décidée à vous partager les aventures de mes personnages.

Chacune de mes histoires vont faire leurs retours au fur et à mesure, mais aujourd'hui, c'est le grand retour de "Destinée à mourir".
Bonne lecture.

Suite du chapitre précédent

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Aurore - Pas une bonne chose ? "Dit-elle sèchement" Je n'ose comprendre Athalaric ! 

Athalaric - Ma douce, notre famille a déjà subit tellement de perte, je ne veux pas prendre le risque que l'on s'attache à ce bébé et que nous le perdions ensuite à cause de cette fièvre.

Aurore - Je ne prendrai pas de tisane pour empêcher notre enfant de naître, Athalaric ! "Dit-elle tristement"

Athalaric - Je ne désire point cela, ma douce. "Dis-je en m'essayant à côté d'elle"

Aurore - Je veux ce bébé, Athalaric.

Athalaric - Si c'est ce que tu désires ma douce, alors nous aurons ce bébé. "Dis-je en la tirant doucement contre moi"

Aurore - Merci d'être un homme si compréhensif, je t'aime tellement.

Athalaric - Je t'aime aussi ma douce. "Dis-je en l'embrassant sur le front"

Je l'ai gardée un moment dans mes bras, je regrettais les mots que je lui avais dit quelques instants plus tôt.

Comment ai-je pu penser un instant à faire disparaître notre enfant à naître, surtout après tout ce que nous avons subi.

J'ai finalement convaincu Aurore de descendre pour prendre son repas avec nous.

Nous en avons profité pour annoncer l'arrivée prochaine du bébé à notre fille.

Après le repas, je suis sorti m'occuper des animaux, laissant les femmes vaquer à leurs occupations.

Durant l'hiver je n'ai plus de cultures dont m'occuper et je ne peux plus aller au village pour éviter de ramener la fièvre dans ma demeure.
Je décide donc de me lancer dans la fabrication de chaises, que je pourrais vendre au village quand tout danger sera écarté.

Pendant ce temps, ma famille est installée au coin du feu, je pouvais les entendre parler de l'arrivée du bébé à la belle saison.

Le soleil commencé à se coucher quand Aurore m'a appelé pour le repas.

Je me suis lavé les mains et je me suis installé à table.

Le repas n'était pas important, ne pouvant plus acheter du grain au village, nous devons donc être prudents avec nos réserves le temps que je puisse recommencer de nouvelles cultures.

Après le repas, Preya est allée donner un bain à son frère, pendant que sa mère laver les assiettes.

Après le bain, notre fille est allée mettre son frère au lit et s'installer à son tour au chaud sous les couvertures.

Une fois entièrement seul avec ma tendre épouse, je l'ai serrée contre moi pour l'embrassé, puis je l'ai emmenée dans notre chambre, avec la ferme intention de profiter d'elle une partie de la nuit.

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Chapitre 90 DISPONIBLE ici

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J'espère que ce petit chapitre vous à plus.

N'hésitez pas à laisser une trace de votre passage sur le blog.